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Nuit des Huîtres 2010

mercredi 29 décembre 2010, par Fred A

Dans le respect de la tradition, la soirée Huîtres était planifiée et elle s’est bien déroulée le mercredi 29 décembre au club mousse.
Sauf qu’elle a duré toute la nuit...

Jojo ayant fait un double de ses clés de voiture, on croyait être tranquille côté dégustation !
Mais celui-ci (et quelques autres) ayants eu quelques soucis intestinaux importants lors d’une dégustation trés récente (le Vendredi précédent), il a été trés soft sur la bête, ce soir-là. Par contre, comme il est d’un naturel aventureux, cela ne l’avait pas empéché de se fournir au même endroit, soucieux de voir si les mêmes causes peuvent produire les mêmes effets.
Expérience non concluante , heureusement.

Nous étions une trentaine à nous affairer autour des tables et cela s’est passé le mieux du monde.
Autour des minuit, la bataille terminée, nous avons tiré le rideau de la boutique.

Mais les plus téméraires ont répondu favorablement à l’invitation d’Olive qui souhaitait nous faire gouter son Rhum arrangé.
Au passage, en bas de chez lui, nous avons tenté de porter secours à quelques jeunes filles, aux prises avec un véhicule récalcitrant . Malgré plus d’une demi-heure de tentatives diverses, et devant la maigreur de nos résultats, nous avons diagnostiqué la mort clinique et sommes monté dans l’appart du gros.
Cantonnés dans la cuisine, la petite dizaine restante se trouvait fort bien là et même la visite du voisin venu squatter une chaise , sous le prétexte fallacieux de se plaindre (?) que l’on faisait trop de bruit, ne parvint pas à nous sortir de notre quiétude.
Cela devint ainsi un savoureux mélange entre la "scéne de la cuisine" des Tontons Flingueurs et le diner de con (sans s). Le Rhum fini , on a gouté un peu de tout, ... mais vraiment de tout. Jérome (le mari de Fleur), de son côté, pipe au bec, fumait aussi à peu prés tout (mais sans s’en apercevoir, lui...).
Sur le coup des 4 heures, on a voulu partir. Olivier nous a accompagné jusque sur la place avec sa guitare et, sur un banc public, nous a offert une sérénade. Car nous avons 2 passions...

Bref, à l’appel de Vincent, nous avons finalement migré chez lui pour manger quelques pâtes et gouter son whisky.
Le bataillon s’était encore réduit. On a squatté une 2e cuisine et la soirée s’est étirée tranquillement jusqu’à 8 h du matin .
Patrice est parti travailler quasiment directement. Il y a en a quand même qui sont drôlement volonteux ....
Et dire que le réveillon, c’est dans 2 jours....

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